Entrée en vigueur depuis janvier 2017, la loi sur la pièce de réemploi affiche un objectif double. Le premier, cela permet d’économiser la matière première, les ressources non renouvelables et l’énergie.
Pour résumer, c’est un bon point pour l’écologie. Deuxième point le pouvoir d’achat du consommateur et favorisé. A vrai dire, ces pièces issue de l’économie circulaire sont moins chères que les pièces détachées achetée neuves. Les professionnels ont l’obligation d’informer les clients quand des pièces de réemploi sont utilisées. Ces pièces proviennent d’une auto hors d’usage condamnée à la destruction et sont vendues par des centres VHU certifiés après avoir été réparées.
Les véhicules pour lesquels ces pièces sont retirées sont des véhicules accidentés qui sont techniquement ou économiquement irréparables. Toutes les pièces auto ne sont pas disponibles en réemploi. Seulement les pièces de carrosserie amovibles, les optiques, les pièces mécaniques et électriques sont concernées par cette loi.
Si le mécanicien n’informe pas le consommateur sur l’utilisation de pièce de réemploi, celui-ci pourra être visé par une amende allant jusqu’à 15 000 euros.